Le Burkina Faso en quelques repères clés

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  • « Le Pays des hommes intègres », ex-Haute Volta devenue indépendante en 1960
  • 19 millions d’habitants
  • Un habitant sur deux a moins de 18 ans et l‘espérance de vie est de 59 ans
  • Langue officielle, apprise  à l’école : le français (d’où un CP1 et CP2)
  • Plusieurs ethnies : mossis (parlant le moré), peuls…
  • Plusieurs religions : catholiques, musulmans, protestants, animistes
  • L’agriculture, essentiellement de subsistance, occupe plus de 86% de la population
  • Presqu’autant de pluie qu’en Picardie mais concentrée sur 1 mois en été
  • 57% de la population vit en-dessous du seuil de pauvreté
  • Des progrès énormes sur la scolarisation à l’école primaire (désormais supérieur à 90%) et au collège

Nos zones d’intervention

Historiquement l’association a concentré ses actions sur 3 zones, portées par 3 figures emblématiques :

  • Mankoula et sa commune de rattachement, Siglé à une quarantaine de kilomètres au nord-ouest de Ouagadougou : c’est le village d’origine de Mathieu Ouedraogo, ex-étudiant amiénois ferment des tout-premiers pas de l’association
  • Méguet, où se développa un collège puis un lycée desquels dépendait Kabouda, village de Pierre Tapsoba qui fut pendant de nombreuses années le référent de l’association. Des actions furent également menées à Zorgho, préfecture de la région Centre est.
  • Ouagadougou et tout particulièrement l’école Sig Noghin B en périphérie nord-ouest de la capitale. Minata Sanon, épouse d’Adama, autre ex-étudiant à Amiens, y fut institutrice pendant 22 ans et conserve des liens avec cette école de son quartier.

Depuis 2017, 2 secteurs sont venus s’ajouter au gré des rencontres de personnes dynamiques et engagées :

  • Temnnaoré, village proche de Mankoula. Une mission animée par les remarquables religieuses de Sainte Marie y fait fonctionner un important centre médical avec maternité, centre de renutrition, laboratoire, pharmacie. Elle exploite également une ferme qui subvient à tous les besoins de la congrégation. A sa tête, sœur Odile, religieuse française, puis sœur Elisabeth avec laquelle des partenariats fructueux ont été noués. Elisabeth a été affectée au Tchad en septembre 2019 ce qui pourrait nous inciter à y ouvrir de nouveaux chantiers.
  • Kokologho, village situé à 40 km à l’ouest de Ouagadougou sur la route nationale menant à Bobo Dioulasso. Le Comité Baoré Solidarité représenté son très actif coordonnateur, Bila Sawadogo, y a créé avec l’aide d’ONG un centre de formation et de production agro-mécanique qui forme en alternance des jeunes en décrochage scolaire aux métiers de la soudure et de la forge. En 4 ans, 11 promotions totalisant 125 jeunes en sont sorties. L’initiative est tellement pertinente, bien pensée et bien menée qu’y soutenir des projets est apparu comme une évidence.